BARENTON Helen

" 113 Chemin de l'Orme des Bois" (2016)

Retrouvez le blog d'Helen BARENTON en cliquant ici.

Il était une fois, une femme qui se passionnait dès son plus jeune âge pour les langues, la musique, le dessin et la philosophie. À 16 ans, passionnée par la période du surréalisme, elle se voit offrir un cadeau qui lui changera la vie : un set de peinture à l’huile. C’est d’ailleurs à cette même période qu’elle décide de lire des manuels qui lui enseigneront les bases de la peinture. Tout ceci lui forgera son envie d’en faire un jour son métier. En parallèle, Helen Barenton cultive un vrai amour pour la littérature. La beauté des mots, la magie avec laquelle ils s’assemblent. La grammaire et la poésie sont un prétexte à la curiosité qui lui anime. C’est comme un voyage qui se partage pour mieux savourer chaque instant. Diplômée de Polytechnique, Helen Barenton est notamment chef de projet dans la donnée. Un univers très rationnel, où elle a toujours besoin de cultivé le cerveau cartésien à son cerveau reptilien. Helen Barenton est une autodidacte. Elle caractérise sa vie comme une histoire tissée de couleurs, de mots et de données, une danse entre l’art, la littérature et le monde des chiffres. Cependant, en parallèle de toutes ces activités, elle se tourne vers l’enseignement où elle donne des cours de peinture au centre social de Bétheny ainsi que des cours d’anglais sur le campus Eductive de Reims. Cet équilibre lui permet une ouverture sur le monde qui se traduit dans ses œuvres par un réalisme décalé. Des peintures hyperréalistes empruntées du burlesque dans lesquelles elle prend plaisir à se moquer de l’homme et de ses travers grâce à l’anthropomorphisme. En 2021, elle reçoit le prix international « The Big One » qui permettra à ses œuvres de voyager notamment vers les Etats-Unis. Elle collabore avec des entreprises, notamment des maisons de Champagne, permettant à ses toiles, plus de visibilité et à ses créations, de raconter leur histoire, témoignant du pouvoir universel de l’art. Ses créations et portraits voyagent partout dans le monde, avec des tableaux visibles chez des particuliers comme des entreprises rémoises et internationales comme par exemple au Japon, en Espagne, en Allemagne, en Suisse, aux Etats-Unis et un peu partout en France. En 2016, elle publie deux polars : « Kilomètres 113 sur l’autoroute A4 », une intrigue autour du personnage d’Arnaud Morel où l’on se demande s’il est mort naturellement ou si c’est un suicide et « 113 chemin de l’Orme des Bois », où une jeune fille prénommant Aline croise le regard de Jérôme, un mystérieux comptable de la société pour laquelle ils travaillent tous les deux et n’aura bientôt qu’un seul désir : exister. Deux histoires, deux destins, scellés à jamais, dans une même enquête, sur fond de mensonges et de secrets, par la police criminelle du mythique 36, quai des Orfèvres.